Avatar 2 ou comment sauver un cinéma à bout de souffle ?
Treize ans après le succès phénoménal d’Avatar, treize ans après cette claque cinématographique et esthétique que nous administrait James Cameron avec son univers en trois dimensions aujourd’hui devenu culte, nous voici enfin de retour sur Pandora.
Treize ans, c’est long, interminable, diront certains. Bien sûr, le Covid est passé par là, mais cela n’explique pas tout.
Lorsque l’on remporte le record de recettes au box-office avec plus de 2,8 milliards de dollars à l’international, difficile de ne pas mettre la barre haute pour la suite des aventures. Il a donc fallu rédiger les scripts des quatre épisodes suivants, décider de la destinée de chaque personnage et – c’est la grande spécialité de Cameron – Créer les outils capables de transformer les rêves les plus fous du cinéaste en réalité cinématographique.
Bref, treize ans plus tard, nous y voilà, et ce deuxième opus semble aujourd’hui attendu comme le sauveur d’un cinéma à bout de souffle, mis à mal par le pouvoir sans cesse grandissant des plateformes de streaming.
Faut-il avoir vu (ou revu) le premier Avatar pour savourer La voie de l’eau ? Les fans, qui seront nombreux à faire la queue devant les salles équipées pour la 3D, ont déjà certainement prévu le coup et effectué leur session de rattrapage. Pour les autres, voici de quoi ne pas être complètement largués : en 2154, Jake Sully (Sam Worthington) est envoyé dans le monde extrater […] Lire la suite
source: Yahoo actualités