21 novembre 2024

Covid: vivement qu’on en finisse!…

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Le pic de l’épidémie est derrière nous depuis maintenant plus de quinze jours mais les « privations » restent, elles, omniprésentes. A quand un (presque) retour à la normale ?

Cette crise sanitaire que nous traversons est un concentré d’excès. Excès de contaminations, de morts mais probablement (aussi) de zèle au travers d’une multitude de gestes barrières qui, il faut bien le dire, pourrissent la vie du citoyen lambda.

Après cinq semaines de quasi confinement – dont quatre touchant bon nombre de secteurs d’activité économiques – il est temps que les choses s’arrêtent.

Pour celles et ceux qui n’auraient pas la mémoire courte, nous comptabilisions le 27 août dernier 357 hospitalisations, 55 patients en réanimation et 15 nouveaux décès contre respectivement aujourd’hui 95, 24 et un nouveau mort à déplorer pour un total de 617 victimes.

Loin de nous l’idée de promouvoir un quelconque relâchement, même progressif, il n’empêche que certaines mesures paraissent disproportionnées, voire à la limite d’un non-sens.

Que le couvre-feu de 21h à 4h reste de mise…passe encore et tant pis pour les noctambules avinés. Mais rester à la maison le week-end, de surcroît sans même pouvoir aller à la plage après une semaine de travail, constitue, de notre point de vue, un abus improductif. Car, comment pouvons nous admettre que le risque soit limité jusqu’au samedi 14 heures et qu’en suite le virus soit subitement de sortie ?

Pendant ce temps, force est de constater que malgré les moyens déployés ici et dans les archipels éloignés, la vaccination est quasiment en panne. Entre le 27 et le 28 septembre, seulement 216 premières injections alors que 140 510 Polynésiens disposent désormais d’un schéma vaccinal complet. A ce rythme, en effet, on risque bien d’arriver à la saint « glinglin ».

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