Situation du Handicap: pour un changement, maintenant !
Minarii Chantal Galenon Taupua, ministre des Solidarités et du Logement, en charge des Personnes non autonomes et Nathalie Heirani Salmon-Hudry, déléguée interministérielle au Handicap ont reçu les représentants des associations œuvrant en faveur des personnes en situation de Handicap, afin d’échanger sur les actions menées par ces associations, les difficultés qu’elles rencontrent et leurs besoins.
Depuis plusieurs dizaines d’années pour certaines, ces associations contribuent à améliorer le quotidien des personnes en situation de Handicap. Le gouvernement s’en inspire un peu plus chaque jour, mais aujourd’hui, il souhaite travailler avec eux et pour eux.
Cette rencontre a ainsi été l’opportunité d’évoquer des perspectives qui viendront enrichir la feuille de route 2023-2028.
Pour le gouvernement, cette union associative est une ressource précieuse pour maintenir une société toujours plus inclusive et solidaire. Les associations apportent du soutien aux familles et organisent régulièrement des opérations de sensibilisation auprès de la population. Leurs membres ont témoigné des difficultés rencontrées face à des comportements de plus en plus individualistes. «J’ai à cœur de mobiliser sur l’inclusion de nos enfants (…) Nous expliquons aux parents et aux familles qu’elles ne doivent se mobiliser non pas que pour leur enfant, mais pour tous les enfants autistes polynésiens. En Polynésie française, nous pouvons faire mieux» selon les propos de Caroline Bravi, présidente de l’association «Entre deux mondes».
Minarii Chantal Galenon Taupua a affirmé que «Ce que je retiens de ce témoignage, c’est l’aspect interministérialité. Sachez que dans notre gouvernement, nous tenons à travailler ensemble. Je parle aujourd’hui d’union gouvernementale, car nous avons constaté que nous devons collaborer sur certains dossiers pour plus d’efficacité.»
Nathalie Heirani Salmon-Hudry, déléguée interministérielle au Handicap a déclaré: «Je tiens à remercier Minarii pour cette initiative, on est chacun concerné par le Handicap. Je me repose sur mon vécu, qui m’aide énormément aujourd’hui dans mon rôle chaque jour. Le président prend des décisions concrètes pour la population et le changement, c’est maintenant. Nous représentons un pan de la société, nous devons nous aussi participer à l’effort collectif, pour que demain change. Il y va de l’avenir de nos enfants et de celui de la Polynésie française.Restons en ordre de marche pour faire avancer le Handicap.»
source: Gouvernement