Unanimes pour interdire la vente d’alcool jusqu’à la fin du confinement
En accord avec le Haut-commissaire, le gouvernement a consulté, vendredi, les maires et les représentants des commerçants de Tahiti sur l’opportunité ou non de rouvrir la vente d’alcool sous certaines conditions.
Lors de ces consultations, tant les élus que les professionnels ont souhaité que l’interdiction de la vente d’alcool soit prolongée pour assurer le meilleur confinement des Polynésiens et limiter au maximum la transmission du Covid-19.
En conséquence, le conseil des ministres a pris un arrêté prolongeant l’interdiction de vente d’alcool jusqu’à la fin du confinement.
Le gouvernement en appelle au sens civique de l’ensemble des Polynésiens pour appliquer sereinement toutes les mesures qui permettent de limiter la propagation du virus.
Communiqué
» Deux verres, cela va encore. Moi je vois du vin le midi et le soir. »
Emmanuel Macronl au Salon de l’Agriculture le 24 février 2018.
L’interdiction de la vente d’alcool est un non-sens, une mesure d’un autre âge, et un abus de pouvoir… « Les citoyens sont libres et égaux en droit « … cette interdiction n’existe en métropole. Les Polynésiens – citoyens de seconde zone !? – sont pénalisés, infantilisés et méprisés par une mesure contreproductive, risques de trafic, de vols, de produits de substitution toxiques…
Le Président de la Polynésie et le Haut-Commissaire s’autoriseraient donc plus de pouvoir que le Président de la République, en violation des droits fondamentaux des citoyens ?
» Deux verres cela va encore. Moi je bois du vin le midi et le soir. »
Emmanuel Macron au Salon de l’Agriculture le 24 février 2018.
L’interdiction de la vente d’alcool est un non-sens, une mesure d’un autre âge et un abus de pouvoir… » Les citoyens sont libres et égaux en droits « … Cette interdiction n’existe pas en métropole. Les Polynésiens – citoyens de seconde zone !? – se trouvent pénalisés, méprisés, infantilisés par une mesure contreproductive, risques de trafic, de vols, d’utilisation de produits de substitution toxiques.
Le Président de la Polynésie et le Haut-Commissaire s’autoriseraient donc plus de pouvoir que le Président de la République, en violation des droits fondamentaux des citoyens !?
Kura Ora,
Tres bien, bonne initiative Mrs les representants du Fenua ainsi que notre Espace sémantique. A poursuivre dans les procgains épiside, çà calme les ardeurs dépassés.
Aroha ia rahi